Kenya: La compagnie « Kenya Power » réitère son engagement à accompagner la croissance du secteur industriel

Dakar –  Kenya: La compagnie nationale de distribution d’électricité « Kenya Power » a réitéré son engagement à accompagner la croissance du secteur industriel, en procédant à des audits réguliers de ses clients en vue de maximiser l’efficience de leur production.

La compagnie envisage également de mettre en place des mécanismes permettant de réduire le tarif électrique au profit de ces grands consommateurs d’énergie, à travers l’optimisation de son mix énergétique, tout en renforçant son réseau électrique, afin d’améliorer la qualité et la fiabilité de la fourniture d’électricité.

« La Kenya Power reconnaît les efforts déployés par l’Association kényane des manufacturiers (KAM) dans le soutien des initiatives favorisant l’efficacité énergétique de ses membres, afin de réduire leurs coûts de production », a indiqué le directeur général de la compagnie, Ken Tarus, cité par des médias locaux.

Sénégal:

L’Etat du Sénégal s’est « résolument » engagé dans un processus de renforcement et de mise en cohérence du dispositif dédié à la prise en charge de la sécurité et de la sûreté maritime pour consolider les acquis mais aussi prendre la pleine mesure des enjeux et défis de la sécurité en mer, a indiqué, jeudi à Dakar, Demba Diouf, directeur de cabinet du ministre Forces armées.

« Cela s’est traduit par l’adaptation des cadres juridique, institutionnel et opérationnel, en adéquation avec les engagements internationaux » a dit M. Diouf qui présidait l’ouverture d’un séminaire civilo-militaire sur la coopération optimale pour la sécurité maritime.

Cette rencontre est organisée par la Haute autorité chargée de la coordination de la sécurité maritime et de la sûreté maritime et de la protection de l’environnement marin (HASSMAR), en partenariat avec l’ambassade des Pays-Bas.

Voici, par ailleurs, le bulletin de l’écologie de l’Afrique pour la journée du samedi 21 avril :

Cameroun:

Le Comité national des inspections du Cameroun indique que dans le cadre de son programme 2018, des inspections conjointes, impliquant plusieurs départements ministériels (Industrie, Santé publique, Environnement, Justice, Finances…), auront lieu dans 4 600 établissements au Cameroun classés dangereux, insalubres et incommodes, rapporte la presse locale.

Les contrôles qui ont commencé depuis le 26 mars et s’achèvent le 29 avril 2018, ont pour objectif de vérifier si ces structures, de par leurs activités industrielles respectent les normes de sécurité sanitaire, environnementale ou sociale.

Côte d’Ivoire :

L’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) a organisé, mercredi, un atelier bilan de ses activités dans le Parc national de Taï, au premier trimestre, dans le cadre de son plan d’opération de l’année en cours, en notant une performance de 72% dans la réalisation des différents programmes prévus pour l’amélioration de la préservation de  la flore et la faune, avec l’appui des populations riveraines.

« On a abouti à une performance de 72% qui est un très bon score, car ce n’est pas facile de gérer un tel espace, au milieu d’une mer de cacaoyers », a déclaré le Directeur technique de l’OIPR, colonel N’Goran Djè François. Il a précisé que les sept programmes prévus dans le plan d’opération de l’année pour le premier trimestre ont tous été réalisés, mis à part quelques difficultés liées à l’appui aux populations riveraines.

Le parc national de Taï représente 536 000 ha d’un seul tenant, avec une richesse en faunes et flores de réputation mondiale, aidant fortement à réguler l’écosystème de cette région d’Afrique de l’Ouest. Il est à cheval sur trois régions de Côte d’Ivoire, à savoir Cavally, San Pedro et Nawa. Les collectivités territoriales, députés et cadres ont été invités à soutenir les populations riveraines, afin qu’elles continuent de collaborer à la protection du parc.