Pologne : Vers la mise en place de centres de don de sang mobiles via des bus non polluants

Varsovie – Le ministère de l’Environnement a annoncé la signature avec son homologue de la santé d’un accord de partenariat pour la mise en place du projet des urgences et des centres de don de sang mobiles via des bus non polluants de l’environnement qui sont destinés à offrir des prestations médicales.

Cette expérience unique, qui sera élaborée en partenariat avec des établissements industriels polonais, sera généralisée dans les différentes régions du pays au bout de cinq ans avec la possibilité pour certaines provinces de bénéficier, l’année prochaine, des prestations de cette initiative de santé environnementale.

Ces bus électriques non polluants seront dotés de tous les équipements médicaux nécessaires en fonction des besoins de la médecine d’urgence mais également d’un cabinet médical, de salles d’accueil, de consultation, de sensibilisation à la santé et de fourniture de conseils.

Les bus des dons de sang seront équipés de chaises spéciales pour les donneurs, et autres équipements de collecte et de banque de sang, d’une salle de consultation et d’un restaurant pour repas aux donateurs.

Le projet vise à contribuer à la lutte contre la pollution de l’air et les émissions de dioxyde de carbone dans les grandes villes en particulier, l’engagement au respect des conditions sanitaires et environnementales contenues dans les conventions internationales, la réduction des dépenses de mobilité des patients et la garantie d’accès aux services de santé et la préservation de l’environnement dans les zones éloignées.

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Voici le bulletin de l’écologie de l’Europe Orientale pour la journée du mercredi 26 juillet 2017:

Turquie:

A fin janvier 2017, la capacité de production d’électricité de la Turquie était de 78,529 mille mégawatt, la part de la production à partir du charbon local représentant 9,870 mégawatt.

Selon le ministre de l’Energie et des Ressources naturelles Berat Albayrak, la Turquie a battu un record de production d’électricité l’année précédente avec la proportion du charbon local dans la production atteignant 23 pc.

Grèce:

Dans son dernier rapport, le Programme des Nations-Unis pour l’Environnement (PNUE) note que la transition énergétique n’est pas encore à la hauteur des objectifs fixés par l’accord de Paris à l’issue de la COP 21 et ce, en dépit de l’importance des investissements dans les énergies renouvelables dans le monde.

Le rapport relève une baisse des projets de 23 pc dans les énergies propres en comparaison avec l’année 2015, notant que les investissements restent principalement axés sur les énergies éoliennes et solaires.

Le journal déplore que les subventions pour les énergies fossiles et le nucléaire restent supérieures à celles accordées aux énergies renouvelables contrairement aux engagements des Etats.

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Autriche:

L’histoire de la chaudière à granulés de bois moderne débute en Autriche, dans l’ancienne étable de la famille Ortner.

Au milieu des années quatre-vingt, après le deuxième choc pétrolier, Herbert Ortner décide de développer une chaudière ne fonctionnant ni au fioul, ni au gaz. Avec deux employés, il conçoit une première chaudière à plaquettes forestières et constate rapidement que ce combustible est bien adapté aux grandes installations, mais bien souvent trop encombrant pour une maison individuelle. Il s’intéresse alors aux granulés de bois.

Même si les granulés sont encore difficiles à trouver en Europe centrale, Ortner réussit quand même à développer en 1997 la première chaudière automatique à granulés de bois en Europe. Le confort du tout automatique et la compacité du granulé offrent aux clients une nouvelle alternative pour se passer du fioul ou du gaz.

L’industrie du bois adhère immédiatement, trouvant dans ce mode de chauffage le moyen de valoriser la sciure qui n’était jusqu’alors qu’un déchet produit en grande quantité.