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25 Août

Pérou: La température la plus basse de l’année 2017 est de -21,4 degrés Celsius

Pérou – Le Pérou a enregistré samedi dernier la température la plus basse de l’année 2017, avec -21,4 degrés Celsius mesurée dans le hameau andin de Patahuasi, dans la région sud d’Arequipa, a indiqué le Service météorologique et hydrologique péruvien.

Patahuasi, qui se trouve à plus de 4.000 mètres au-dessus du niveau de la mer, a été suivie par la municipalité de Chuapalca, dans la région voisine de Tacna, en bordure du Chili, où il y avait -19,7 degrés Celsius.

A cette époque de l’année, il est habituel que les zones andines du Pérou affichent de fortes baisses de températures, en raison en partie de l’absence de précipitations, ce qui entraîne de nombreux décès d’enfants et de bétail, principalement des camélidés comme les lamas et les alpagas.

Voici le bulletin de l’écologie de l’Amérique du Sud pour la journée de vendredi 25 août:

Argentine:

Le ministre argentin de la Production, Francisco Cabrera, a annoncé, jeudi, que son pays a entamé des négociations avec les autorités américaines pour qu’elles revoient leur décision d’augmenter les taxes douanières sur les importations argentines, dont celles imposées au Biodiesel destiné au marché américain.

Les autorités américaines ont décidé, mardi, d’augmenter de 50,29 % à 64,1 % les taxes imposées au biodiesel argentin destiné au marché américain étant donné que ce produit est subventionné en Argentine.

L’Argentine a produit près de 2,7 millions de tonnes de biodiesel au cours de l’année 2016, en augmentation de 50% par rapport à l’année d’avant, selon la chambre argentine du biocarburant.

Selon des données de la chambre présentées aux médias, la production de biodiesel en Argentine représente 9% de la production mondiale estimée à 30 millions de tonnes.

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Brésil:

Un juge de Rio Grande do Sul a interdit dans une injonction, prononcée jeudi soir, l’abattage de 300 cerfs infectés par la tuberculose dans le Parc Pampas Safari dans l’Etat du Rio Grande de Sul.

Dans son injonction, le juge João Ricardo dos Santos Costa a suspendu l’abattage des animaux et a ordonné la mise en quarantaine des cervidés infectés et leur séparation par sexe pour empêcher la reproduction et par conséquent la surinfection.

Mercredi, l’Institut brésilien de l’environnement (Ibama) avait annoncé qu’en raison d’une épidémie de tuberculose dans le Parc, quelque 300 cerfs sont condamnés à l’abattage.

Selon l’institut, les examens sur les animaux ont « démontré l’existence de l’épidémie, et celle-ci n’a pas été contrôlée car le Parc n’a pas respecté les normes sanitaires et environnementales » en vigueur.

Situé à une trentaine de km de Porto Alegre, le parc Pampas Safari était l’un des principaux parcs animaliers de la région, avec plus de 300 hectares et 2.000 animaux.

Ce parc, victime d’une précédente épidémie de tuberculose en 2013, est actuellement fermé et des centaines d’autres animaux y sont toujours recensés.

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