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11 Sep

Tunisie : Une délégation d’experts britanniques en énergie est attendue la semaine prochaine à Kébili

Tunis – Une délégation d’experts britanniques en énergie est attendue la semaine prochaine à Kébili (500 km au sud de Tunis) pour examiner avec les autorités régionales les moyens de mettre en place le projet d’une méga-station de production de l’électricité à partir de l’énergie solaire.

D’après le gouvernorat de la région, la délégation, qui comprend des représentants de la firme britannique « NUR Energy » spécialisée dans les énergies renouvelables, projette de réaliser un projet intégré d’exportation d’énergie solaire reliant le désert de Tunisie aux marchés électriques européens, à travers l’aménagement d’une centrale solaire sur une superficie de 20 mille hectares à Rjim Maatoug.

Le projet consiste, au départ, en l’aménagement, dans la localité de « Regim Maatoug » de centrales thermodynamiques ou centrales CSP, d’une capacité de 2000 Megawatt (MW), pour produire de l’électricité.

La deuxième phase du projet porte sur l’installation d’une ligne électrique terrestre et maritime de 1000 km de longueur pour relier la centrale du Sahara tunisien au réseau italien d’électricité.


Une quantité d’acide phosphorique produit par la société tuniso-indienne des engrais « TIFERT » a été déversée en mer, jeudi dernier, près de la zone industrielle de Skhira relevant du gouvernorat de Sfax (Sud-Est).

Dans des déclarations à la presse, le directeur régional de l’Agence Tunisienne de la Protection de l’Environnement, Taoufik Gargouri, a fait état d’un « déversement accidentel » dû à l’interruption des activités de la société, pendant deux jours, en raison de la limite de capacité de stockage d’eau.

Des opérations de contrôle ont été effectuées et des échantillons ont été prélevés pour les analyser, a ajouté la même source, précisant que selon les résultats préliminaires, ces échantillons contiennent un liquide utilisé dans la production d’acide phosphorique mais pas de l’acide pur.

 

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Alger – Les cas de viande dégradée qui ont été signalés dans certaines wilayas du pays pendant l’Aïd El Adha résultent de mauvaises conditions de conservation, a annoncé la direction des services vétérinaires du ministère algérien de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche.

Les cas de viande dégradée signalés ne relèvent que de « mauvaises conditions de conservation », a indiqué la directrice des services vétérinaires au ministère, Mme Djamila Hadj Amar.

Hormis à Alger, où les cas ont été plus nombreux, des citoyens ont constaté dans d’autres wilayas que certaines parties des moutons sacrifiés présentaient une coloration verte.

Le rapport préliminaire des vétérinaires révèle que dans certains cas, les plaignants ont laissé leur viande traînée chez les bouchers pour la découpe de leur mouton.

Des enquêtes sont en cours dans toutes les wilayas algériennes où des cas ont été signalés, affirme Mme Hadj Amar, soulignant que les services vétérinaires du ministère de l’agriculture travaillent aussi en étroite collaboration avec l’association de la protection et orientation du consommateur et son environnement (APOCE) pour collecter le maximum d’informations et déterminer ensemble les raisons exactes de ce problème.

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