Plus de 15% de belges qui se rendent régulièrement au travail à vélo ont perçu une indemnité

Bruxelles- De plus en plus de travailleurs se rendent régulièrement au travail à vélo en Belgique, profitant d’une indemnité mise en place pour promouvoir ce mode de transport écologique.

L’année dernière, près d’un travailleur sur quatre (24,21%) utilisait régulièrement son vélo pour se rendre au travail, selon les résultats du baromètre de mobilité 2017 du groupe de services en ressources humaines « Acerta » publiés lundi.

Il ressort également de ces chiffres que plus de 15% parmi les travailleurs optant pour ce mode de transport percevaient une indemnité vélo de 31 euros par mois en moyenne en plus de leur salaire.

« De plus en plus de secteurs professionnels obligent les employeurs à verser une indemnité vélo à leurs travailleurs. Cependant, un grand nombre d’employeurs décident spontanément de l’attribuer dans le cadre de la mise au vert de leur politique de mobilité », commente Ellen Lammens, juriste du centre de connaissances.

L’étude d’Acerta montre aussi que la mobilité combinée a de plus en plus la cote puisqu’elle augmente de 9% chaque année. Plusieurs employés ne se limitent ainsi pas à un moyen de transport pour le déplacement entre leur domicile et leur lieu de travail. Ils alternent entre leur voiture, leur vélo ou les transports en commun pour aller travailler.

Par ailleurs, Voici le bulletin de l’écologie de l’Europe occidentale pour la journée du mardi 18 septembre 2018:

France:

Le Groupe français Valorem opérant dans les énergies vertes, notamment dans l’éolien, a annoncé une prise de participation de 25 pc dans le capital du Marocain DLM EnR.

‘’Le Groupe Valorem, opérateur en énergie vertes, pionnier de l’éolien en France et acteur européen des énergies renouvelables est désormais actionnaire à hauteur de 25% de DLM EnR filiale du Groupe Delattre Levivier Maroc, spécialiste des solutions d’autoconsommation électrique à base d’énergies propres et de systèmes d’approvisionnements complémentaires en électricité’’, indiqué le groupe français dans un communiqué mis en ligne.

Les deux entités, qui ont convenu de mettre en commun leurs savoir-faire respectifs, entendent faire de ce rapprochement stratégique un vecteur de croissance pour le secteur marocain et africain des énergies renouvelables, précise le groupe.

A travers cette participation, le groupe français aspire étendre davantage son champ d’expertise sur les marchés marocain et africain.

DLM EnR est considéré comme un acteur de référence sur le marché marocain des énergies renouvelables. Grâce à son expertise dans le domaine des énergies propres appliquées aux secteurs de l’industrie, de l’agriculture et des services, le groupe se targue d’un positionnement privilégié au Maroc et en Afrique.

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Espagne:

Un total de 438 municipalités espagnoles ont rejoint la Semaine européenne de la mobilité, célébrée du 16 au 22 septembre, en vue de sensibiliser à la mobilité durable et d’améliorer la santé et la qualité de vie des habitants.

La Semaine européenne de la mobilité, dont les activités en Espagne sont coordonnées par le ministère de la transition écologique, prendra fin samedi prochain avec la « Journée sans voiture », à laquelle ont adhéré 175 municipalités. Le but étant de favoriser les moyens alternatifs à l’usage de la voiture en ville, comme le train, le vélo, le tram et le bus, indique un communiqué du ministère.

La plupart des municipalités participantes à cette initiative européenne ont programmé, tout au long de cette semaine, des activités de sensibilisation à la mobilité durable, des ateliers et des expositions de photos invitant le public de faire l’expérience de la multimobilité.

L’Espagne est ainsi le deuxième pays en termes du nombre de municipalités adhérentes, juste derrière l’Autriche (547 municipalités).

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Portugal:

Le ministre de l’Environnement, Joao Pedro Matos Fernandes, a souligné, dans des déclarations à la presse, que plusieurs projets d’adaptation au changement climatique sont en cours de réalisation au Portugal, pour une enveloppe budgétaire globale de 225 millions euros.

Il a précisé que 25 millions d’euros sont prévus pour des interventions dans des zones urbaines, 120 millions d’euros sur la côte et 80 millions d’euros pour la réhabilitation du réseau hydrographique.

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Suisse:

Le fonds de gestion des déchets radioactifs et le fonds de désaffectation pour les installations nucléaires en Suisse se chiffraient à environ 7,732 milliards de francs fin 2017, contre 7,0 milliards un an auparavant, relève l’Office fédéral de l’énergie (OFEN) dans ses rapports annuels 2017 des fonds de désaffectation et de gestion des déchets radioactifs

« Ces fonds couvrent les coûts générés par la désaffectation des installations nucléaires et ceux occasionnés par la gestion des déchets radioactifs et des éléments combustibles irradiés une fois les installations mises hors service », explique un communiqué de l’OFEN.

Conformément à l’ordonnance sur le fonds de désaffectation et sur le fonds de gestion (OFDG), ils sont soumis à la surveillance du Conseil fédéral, qui avait récemment approuvé les rapports et les comptes annuels 2017 de chacun des fonds et donné décharge à la commission ad hoc, rappelle la même source.