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08 Fév

Le droit à l’eau face au stress hydrique : Trois questions au directeur des études et de la recherche au CNDH

Propos recueillis par Mohamed Achraf LAARAJ

Rabat– En marge de la présentation d’un mémorandum intitulé « Le droit à l’eau: des approches pour faire face au stress hydrique », élaboré par le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), conformément à ses orientations stratégiques (2022-2024), le directeur des études et de la recherche au Conseil, Mohamed El Hachimi, a accordé un entretien à la MAP, dans lequel il revient sur le contexte d’élaboration du mémorandum, ses points saillants et sa portée en faveur des droits de l’Homme au Maroc.

-Dans quel contexte intervient l’élaboration de ce mémorandum ?

Ce mémorandum s’inscrit dans le cadre de la participation du CNDH au débat public que connaît notre pays depuis quelques années sur le stress hydrique. Nous avons organisé, en septembre 2022, un cycle de rencontre-débat appelé « Agora des droits de l’Homme ». La première séance a été dédiée à la problématique du droit à l’eau et le stress hydrique au Maroc et a été marquée par un panel de participants qui s’intéressent à ce sujet, à partir de toutes les dimensions de la problématique du stress hydrique, dont l’agriculture, l’économie et l’environnement.

Nous avons essayé de couvrir tous les aspects de cette problématique complexe, et sur la base de ces échanges, nous avons développé ces outcomes. Par la suite, le Conseil a finalement décidé de préparer et présenter ce mémorandum qui a été validé par l’Assemblée générale du Conseil tenue en octobre 2022.

– Le mémorandum s’appuie sur l’effectivité des droits de l’Homme. En quoi consistent ses points saillants en matière de promotion du droit à l’eau ?

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